Le premier ministre Anatole Collinet Makosso à Dubaï pour le mariage somptueux de “Kiki” Agwalima, le voleur

AI

 

 

La honte ! Il a fait semblant de transiter par Paris pour tromper la vigilance des congolais plongés dans une misère indescriptible, alors qu’il se rendait à Dubai pour aller festoyer au mariage somptueux de son complice, le plus grand voleur des deniers publics du Congo devant l’éternel, Kiki Nguesso, alias Agwalima.

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Congo – Le premier ministre Anatole Collinet Makosso à Dubaï pour le mariage somptueux de “Kiki” Agwalima, le voleur.

Jusqu’au dernier moment, le premier ministre congolais, Anatole Collinet Makosso ne savait pas s’il allait pouvoir assister au mariage de son complice Denis Christel Sassou-Nguesso, dit “Kiki”, avec Nathalie Bumba-Pembe. Anatole Collinet Makosso a fini par réussir à voyager jusqu’à Paris où il a séjourné à l’Hôtel du Collectionneur le 14 mai, avant de prendre un autre vol pour Dubaï le lendemain.

Près de 300 personnes, dont un échantillon du gotha politico-économique de Brazzaville et de Kinshasa, sont attendues à cet événement qui s’étire sur trois jours à compter du 16 mai, date du mariage coutumier. Le premier ministre est un proche de Denis Christel Sassou-Nguesso, avec qui il a noué une relation particulière d’amitié et de bienveillance. Le fils de Denis Sassou-Nguesso, qui occupe également la fonction de ministre de la coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé, a particulièrement insisté pour qu’Anatole Collinet Makosso assiste à la cérémonie.

Sauf changement de dernière minute, le chef de gang, le chef des voleurs, Denis Sassou Nguesso, n’a pas prévu de se joindre aux festivités, qu’il avait vivement conseillé de suspendre avant la tenue des élections (AI du 14/02/25).

Le choix de Dubaï n’est pas tout à fait un hasard. La famille présidentielle congolaise se trouve à nouveau dans le viseur de la justice française pour des détournements de fonds publics et Denis Christel Sassou-Nguesso redoute d’être mis en examen, tout comme l’épouse du tyran, Antoinette Sassou Nguesso et de nombreux membres du clan (AI du 07/03/25). D’autant qu’il est cité dans le dossier dit des “biens mal acquis”, tout comme sa future épouse qui apparaît dans une opération trouble d’acquisition immobilière à Paris et de travaux extravagants financés, selon les enquêteurs, par des “revenus occultes” issus de “détournements” de la rente pétrolière congolaise

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