Denis SASSOU NGUESSO  et Denis Christel SASSOU NGUESSO,   deux traits d’un même visage diabolique

Denis Christel SASSOU NGUESSO, le pouvoir à tout prix sur les traces de Denis SASSOU NGUESSO, ancien seigneur de guerre des cobras mouvement de rébellion à dominante Mbochis , était parvenu à revenir  au pouvoir en 1998 à la faveur d’une implication honteuse de la France.

Le canard enchainé révélait à l’époque qu’« avec l’accord tacite de Paris, des livraisons d’armes via l’Angola, le Gabon et le Sénégal ont permis d’équiper les milices de Sassou Nguesso. Parfois même, achats et expéditions ont eu pour base organisationnelle la capitale française » . L’importance de l’armement en possession de Sassou-Nguesso est dévoilée par les expéditions suivantes : au moins 25 tonnes sont parties du Bourget par avion, 200 tonnes réceptionnées à Luanda. Cet arsenal militaire et l’aide de la francafrique ont mis fin à une sanglante guerre civile. » ( fin de citation)

Les « promesses de réconciliation » de ses débuts à la tête du pays complétement détruit ont vite laissés place à la violence politique que font régner un clan vorace et obnubilé par la victoire sur le peuple et la soif du pouvoir à tout prix.

Mais c’est surtout par la corruption, l’achat d’une opposition malléable qui attise la colère et le rejet d’une population promis à un bel avenir mais réduite, soumise, muselée et classée aujourd’hui comme l’une des plus pauvres du monde.

Comble de l’imposture et hypocrisie, c’est la France, impliquée dans les malversations inimaginables avec le clan MBOCHIS d’OYO, qui a joué les bons offices en vue d’une « médiation » censée mettre un terme à la crise politique. Seulement les récents évènements politiques du monde vont à une telle vitesse qu’il est parfois bon de se poser un peu pour comprendre où l’on en est. Voire comment on a pu en arriver là.

C’est exactement c’est à cet effort de réflexion qui échappe à DCSN. Cela demeure pour ses capacités, une difficulté insurmontable. Il continue à croire qu’être fils de président suffit à tout.

Denis Christel SASSOU NGUESSO pour préparer son ascension, a-t-il expliqué aux congolais comment il a utilisé les fonds secrets de la SNCP pour arriver à ses fins et prendre l’ascendant sur tout le monde ? Au vu de la dérive autoritaire du personnage, qui reflète celle de son père, on se doute qu’il a été compliqué d’obtenir ces témoignages essentiels, notamment pour porter un regard bienveillant sur son entrée au gouvernement.

Son enfance dans un quartier modeste de Brazzaville et sa reconnaissance comme fils légitime de Sassou, grâce à Édith Bongo qui réussira à toucher la corde sensible de son père.  Ce retour en grâce fut du pain béni pour Christel Denis Sassou Nguesso, qui fut longtemps rejeté, tout comme son père.

Ce passé, pas si lointain, permet de comprendre la rancune tenace qu’il a gardé contre les Congolais qui ne l’ont jamais vraiment considéré ni adopté.

De père en fils les SASSOU NGUESSO veulent un régime taillé sur mesure pour eux. Et ce n’en rien le fruit du hasard. Nous entrons là au cœur d’un système sensible dans un pays où se joue des enjeux déterminants pour sa survie. Pour asseoir un pouvoir aussi bancal que corrompu et meurtrier le Congo est devenu la porte d’entrée de toutes les malversations possibles venus de Chine, France, Russie Arabie saoudite, Rwanda … Le Congo impliqué dans le conflit Centrafricain et sermonné par la Russie s’est laissé vampiriser par les affres d’une violence extrême. Le Congo que veut nous imposer Denis Christel SASSOU NGUESSO comploterait aujourd’hui en sous-main avec la Russie et toutes les racailles de mercenariat, tout azimut.  Quant en sait ce les dégâts causés par cette bande de militaire russes déguisée en mercenaires, peuvent causer il faut craindre le pire pour la stabilité du Congo.  Nous sommes en présence de deux traits d’un même visage diaboliques. Répression… culte de la personnalité… manipulation politique, séquestrations abusives, tueries en masse et prédominance éthique du clan. Tout est bon, même le massacre des innocents l’essentiel est d’arriver à ses fins.

L’économie s’essouffle, la société congolaise suffoque, les critiques pleuvent et, malgré tout, Denis Christel SASSOU NGUESSO reste dans une position d’autiste enivré par l’obsession d’un pouvoir qu’il convoite contre vent et marée

Quelle est sa méthode ?

A suivre …

Jean-Claude BERI

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